Le treizième conte de Diane
Setterfield (Pocket)

Gravement malade, la célèbre écrivain Vida Winter contacte la jeune Margaret Lea afin qu’elle rédige sa biographie. Alors qu’elle a toujours menti aux journalistes, révèlera t’elle enfin la
vérité sur sa vie à la jeune femme?  L’atmosphère de ce roman est un hommage aux grands classiques de la littérature anglaise: Une demeure isolée dans le yorkshire, des
âmes tourmentées, des fantômes qui rôdent, des secrets inavouables tapis sous les pierres et sous les peaux… Ajoutez des passages délicieux sur l’amour de la lecture, et tous les
ingrédients sont là pour passer un moment divin!  A  lire au coin du feu pendant les longues soirées d’hiver, evidemment. (Pocket)

Un incontournable de la blogosphère! Lu (et aimé) par Clarabel, Lilly, Laure, Joëlle, Cathulu, Fashion, Emjy, Papillon, Lily, Karine


Les grandes espérances du jeune Bedlam de George Hagen (Belfond)

Né dans les années 1860 dans un quartier défavorisé de Londres, Tom est élevé par sa mère, employée dans une manufacture de porcelaine. Son père, William Bedlam les a abandonné, peu après sa
naissance, pour tenter sa chance sur les planches. Mais un jour ce père indigne, voleur et fourbe, refait surface, et le destin de Tom va en être bouleversé.
Quelque part entre
Dickens et Irving, des bas-fonds de Londres aux paysages éclatants de l’Afrique du Sud, “Les grandes espérances du jeune Bedlam” est l’histoire d’une vie rythmée par les coups du sort, les
secrets et les trahisons. J’avais déjà beaucoup aimé le précédent livre de George Hagen, La famille
Lament
(en poche, chez 10-18) et ce deuxième roman est tout aussi réussi, c’est une belle saga qui s’appuie sur une galerie de personnages étonnants… Un auteur à suivre
de près!

Voir aussi l’avis de Keisha.


Les filles de Riyad de Rajaa Alsanea

“Les filles de Riyad” a d’abord été diffusé sur internet, sous forme de feuilleton hebdomadaire, puis publié au Liban (mais reste interdit en Arabie Saoudite). Dans une série de mails,
la narratrice évoque la vie quotidienne et amoureuse de quatre amies saoudiennes, Lamis, Michelle, Sadim et Gamra.  A travers les destins très différents de ces quatre jeunes
femmes, on découvre toutes les facettes de la féminité en Arabie Saoudite, la cohabitation difficile entre le carcan des traditions et les envies de ces femmes issues d’une classe sociale assez
aisée et donc ouvertes sur le monde occidental. Le sujet est intéressant, et le résultat plutôt sympathique, une sorte de Sex and the city version orientale. (Plon)


Les garçons de Wesley Stace

Il y a eu deux Georges dans la famille Fischer. L’un est né de père inconnu dans les années 60. Sa mère Frankie étant actrice et souvent absente, il est donc élevé par sa grand-mère Queenie
et son arrière-grand mère Evie, qui fut en son temps une célèbre marionnettiste. Son grand-père lui aussi était ventriloque, et l’autre George de la famille n’était autre que sa
marionnette… Les deux Georges prennent la parole chacun leur tour pour raconter l’histoire familiale. “Les garçons” est un roman sur l’identité masculine, George comme son grand-père,
essayant de trouver leur place dans une famille de femmes et d’artistes assez envahissantes! Un roman original et très agréable à lire, malgré quelques longueurs.(Flammarion)

Lu aussi par Virginie.

19 Comments on Lus en 2008 – Romans étrangers

  1. J’avais adore les treize conte lu a sa sortie, le deuxieme de hagen fait partie de mes lectures..un jours ^^ j’avais aussi beaucoup aimé la famille Lament de cet auteur.

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