 Un soir à Tel-Aviv, Eden, médecin et jeune maman solo d’une petite Emma de 4 mois, reçoit un coup de téléphone auquel elle ne s’attendait vraiment pas : sa mère est en garde à vue dans un commissariat parisien. Pourquoi est-elle en France alors qu’elle a quitté son pays natal depuis des décennies ? Cela a-t-il un rapport avec sa sœur jumelle avec qui elle est fâchée, et qu’Eden n’a jamais rencontrée ? En cherchant à comprendre ce qui s’est passé, Eden va découvrir des secrets familiaux qui vont bouleverser son existence.
Un soir à Tel-Aviv, Eden, médecin et jeune maman solo d’une petite Emma de 4 mois, reçoit un coup de téléphone auquel elle ne s’attendait vraiment pas : sa mère est en garde à vue dans un commissariat parisien. Pourquoi est-elle en France alors qu’elle a quitté son pays natal depuis des décennies ? Cela a-t-il un rapport avec sa sœur jumelle avec qui elle est fâchée, et qu’Eden n’a jamais rencontrée ? En cherchant à comprendre ce qui s’est passé, Eden va découvrir des secrets familiaux qui vont bouleverser son existence. 
“Le prix des bonnes intentions” fait voyager le lecteur entre Israël et Paris, avec de constants allers-retours entre le présent et le passé. Le personnage d’Eden, fragilisé par sa condition de jeune maman, est particulièrement touchant, et les révélations auxquelles elle va être confrontée au fur et à mesure du récit donnent envie au lecteur de tourner les pages pour en savoir plus. J’ai beaucoup aimé ce joli roman autour de la maternité, du lien filial et de la transmission.
Le prix des bonnes intentions d’Ornella Nomber, 295 pages, disponible en numérique ou en papier sur Amazon (auto-édition).
 Hugo est un jeune prodige du piano. Son talent, hélas, ne l’empêche pas d’être harcelé au lycée par l’un de ses camarades. Solitaire, Hugo trouve du réconfort dans la contemplation des Nymphéas de Claude Monet, et c’est dans la salle du Musée de l’Orangerie qu’il va croiser Monsieur Raymond, un militaire retraité. Malgré leur important d’écart d’âge, leur passion commune pour la musique et le tableau de Monet va les rapprocher. Et ils vont rapidement se trouver un autre point commun, une passion pour un art bien moins avouable, celui du meurtre…
Hugo est un jeune prodige du piano. Son talent, hélas, ne l’empêche pas d’être harcelé au lycée par l’un de ses camarades. Solitaire, Hugo trouve du réconfort dans la contemplation des Nymphéas de Claude Monet, et c’est dans la salle du Musée de l’Orangerie qu’il va croiser Monsieur Raymond, un militaire retraité. Malgré leur important d’écart d’âge, leur passion commune pour la musique et le tableau de Monet va les rapprocher. Et ils vont rapidement se trouver un autre point commun, une passion pour un art bien moins avouable, celui du meurtre… Dans Rue de l’échelle, Cyrille Audebert met en forme les mémoires de son père, Raymond, né en 1921 et décédé en 1998. Le récit commence à la veille de Noël 1928, à Saumur, alors que le jeune garçon de 7 ans perd brutalement son propre père lors d’un accident du travail.
Dans Rue de l’échelle, Cyrille Audebert met en forme les mémoires de son père, Raymond, né en 1921 et décédé en 1998. Le récit commence à la veille de Noël 1928, à Saumur, alors que le jeune garçon de 7 ans perd brutalement son propre père lors d’un accident du travail.