Encore un livre lu pour le Prix Fnac. Je renonce à vous faire
un résumé en bonne et due forme de ce roman… Disons qu’un sexagénaire à l’existence insipide tente de séduire l’une de ses jeunes collègues aux dents longues, en tous points opposée à lui. Je me
suis rapidement ennuyée avec ce personnage vieillot et réactionnaire. On s’englue dans ses bavardages interminables sur son combat quotidien contre le bruit, sur sa passion du baiser,
sur son rêve d’une retraite tranquille. L’intrigue minimale n’est finalement qu’un prétexte à une suite de discours plutôt creux sur la vie moderne. Au prix de redoutables efforts, j’ai
réussi à lire 150 pages, soit environ la moitié du roman, avant de renoncer et de laisser ce livre de côté. C’est d’autant plus dommage que le style est très élégant, et qu’il aurait fait
merveille au service d’un contenu plus consistant ! Mais “La vie de bureau” est à l’image de son personnage, sans relief et sans saveur.
un résumé en bonne et due forme de ce roman… Disons qu’un sexagénaire à l’existence insipide tente de séduire l’une de ses jeunes collègues aux dents longues, en tous points opposée à lui. Je me
suis rapidement ennuyée avec ce personnage vieillot et réactionnaire. On s’englue dans ses bavardages interminables sur son combat quotidien contre le bruit, sur sa passion du baiser,
sur son rêve d’une retraite tranquille. L’intrigue minimale n’est finalement qu’un prétexte à une suite de discours plutôt creux sur la vie moderne. Au prix de redoutables efforts, j’ai
réussi à lire 150 pages, soit environ la moitié du roman, avant de renoncer et de laisser ce livre de côté. C’est d’autant plus dommage que le style est très élégant, et qu’il aurait fait
merveille au service d’un contenu plus consistant ! Mais “La vie de bureau” est à l’image de son personnage, sans relief et sans saveur.
Calmann-Levy 2006, 284 pages, 17 euros