Suite de ma sélection pour la rentrée littéraire, avec cette fois 14 romans étrangers. Vous pouvez retrouver ma sélection de romans francophones en cliquant ici.
Esprit d’hiver de Laura Kasischke (22 août, éditions Christian Bourgois)
Réveillée tard le matin de Noël, Holly se voit assaillie par un sentiment d’angoisse inexplicable. Rien n’est plus comme avant. Le blizzard s’est levé, les invités se décommandent pour le déjeuner traditionnel. Holly se retrouve seule avec sa fille Tatiana, habituellement affectueuse, mais dont le comportement se révèle de plus en plus étrange et inquiétant…
Déjà lu du même auteur: Les revenants, La vie devant ses yeux.
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Dans la lumière de Barbara Kingsolver (21 août, Rivages)
Dellarobia Turnbow s’ennuie. Mariée trop tôt, elle mène une vie de mère au foyer dans une ferme des Appalaches. Lors d’ une promenade familière, elle assiste à un étrange phénomène : une “vallée de feu”, fascinante de beauté mais effrayante. Ce qu’elle prend pour une apparition miraculeuse va devenir un enjeu collectif : la communauté religieuse de la ville pense y reconnaitre un signe de Dieu, alors que de nombreux scientifiques évoquent une anomalie climatique. Car ces reflets rougeoyants n’ont rien à voir avec des flammes. Ce sont les ailes de papillons qui ont étonnamment changé leur trajet migratoire. Ce coin isolé devient un lieu observé par le pays entier. Des curieux organisent des excursions, des journalistes s’emparent de l’affaire. Dellarobia, au centre de cette attention, comprend que de simples papillons vont bouleverser son existence, et peut-être l’ordre du monde.
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Dans le silence du vent de Louise Erdrich (21 août, Albin Michel)
Couronné en 2012 par le National Book Award, le plus prestigieux prix littéraire des Etats-Unis. Classé parmi les dix meilleurs livres de l année 2012 par l’ensemble de la presse américaine.
Un dimanche de printemps, une femme est agressée sexuellement sur une réserve indienne du Dakota du Nord. Traumatisée, Geraldine Coutts n est pas en mesure de révéler ce qui s’est passé à la police, ni d’en parler à son mari ou à son fils de treize ans, Joe. En une seule journée, la vie de ce dernier est bouleversée. Il essaie d aider sa mère mais elle reste alitée et s enfonce peu à peu dans le mutisme et la solitude. Tandis que son père, qui est juge, confie la situation à la justice et à la loi, Joe perd patience face à une enquête qui piétine et il décide avec ses copains de chercher les réponses de son côté. Leur quête les mène tout d abord dans un lieu sacré, à proximité duquel la mère de Joe a été violée… Dans ce livre magnifique, comme dans le reste de son oeuvre, Louise Erdrich parvient à mêler la tragédie, l’humour, la poésie et la grâce, pour restituer les sentiments et les émotions de ses personnages face à la violence dont tant de femmes sont toujours aujourd’hui victimes.
Déjà lu du même auteur: La chorale des maîtres-bouchers
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Le cœur par effraction de James Meek (22 août, éditions Métailié)
Seriez-vous capable de trahir un être cher ? Rebecca, alias Bec, est une grande chercheuse scientifique, elle travaille sur la malaria, son frère Ritchie est une ex-rock star devenue producteur de télévision. Leur père, un officier, a été tué en Irlande pour avoir refusé de trahir un informateur. Lorsque Bec refuse d’épouser le puissant directeur d’un magazine people, celui-ci se venge en menaçant Ritchie de révéler ses frasques s’il ne lui donne pas d’informations scabreuses sur sa sœur. Bec est à son tour mise à l’épreuve dans son mariage avec Alex lorsqu’elle décide d’avoir un enfant malgré tout.
Le frère et la soeur devront choisir entre la loyauté et la trahison. Voici un grand roman classique sur des thèmes ultra contemporains. Une moderne histoire de famille, de secrets, d’amour, de mort, d’argent, à l’ère des magazines trash, des intimités devenues publiques, de la transparence sur Internet. Un impressionnant thriller moral.
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Ailleurs de Richard Russo (5 septembre, éditions de la Table Ronde)
Peu de temps après la disparition de sa mère, Richard Russo, l’écrivain couronné du prix Pulitzer et auteur d’une dizaine de romans traduits dans le monde entier, prend la plume pour décrire la vie de cette femme autoritaire mais fragile qu’il adora autant qu’il la subit. À chaque étape de l’existence de son fils, de son enfance dans la banlieue industrielle de New York à sa carrière dans les universités américaines, à travers les différents seuils de son mariage, l’éducation de ses deux filles et les améliorations successives de son niveau de vie, elle le suivit comme une ombre encombrante et intouchable, ballottée au gré des déménagements successifs, écartelée entre ses tentatives de préserver un mode de vie qu’elle souhaitait « indépendant » et les violentes crises nerveuses dont elle était si souvent victime, et qui marquèrent à jamais l’ensemble de la famille Russo. Ailleurs retrace le déchirant parcours d’un être torturé sa vie durant par un trouble obsessionnel- compulsif diagnostiqué trop tard, mais constitue, avant tout, la plus belle épitaphe adressée à sa mère par celui qui, parvenu enfin à la comprendre, fut son unique raison de (sur)vivre.
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Bent Road de Lori Roy ( 21 août, editions du Masque)
Pendant leur vingt ans de vie commune à Detroit, Celia Scott a regardé son mari, Arthur, se cacher derrière les secrets entourant la mort de sa sœur Eve. Mais en 1967, les émeutes raciales l’effraient encore plus que son passé et il décide de retourner vivre dans la ferme familiale où il a grandi, sur Bent Road, près d’une toute petite ville au fin fond du Kansas. Alors que les Scott viennent de s’installer, une jeune fille disparait. Sur Bent Road, on aperçoit tout le temps un pick-up rouge déglingué qui sillonne la prairie, inquiétant. Il y a une petite fille solitaire qui met les robes de sa tante défunte, un garçon qui apprend à tirer avec l’arme de son père pour lui prouver qu’il est un homme, et une femme qui se rend compte qu’elle ne reconnait plus son mari et qu’elle ne sait plus comment protéger ses enfants. Bent Road, c’est un lieu où l’on apprend ceci : parfois, le meurtre est le plus doux des remèdes.
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Outre-atlantique de Simon Van Booy (21 août, éditions Autrement)
Los Angeles, 2010. Martin, d origine française, est venu s’installer en Amérique avec sa famille, des boulangers, après la guerre. Ses parents ont accompli un acte héroïque en 1944, sans qu’il sache bien lequel. Un beau jour, il voit arriver dans la maison de retraite où il travaille un certain M. Hugo, un très vieil homme défiguré, qui meurt dans ses bras.
France, 1968 : deux enfants découvrent dans les bois les restes du bombardier B-24 d’un soldat américain. Vingt-cinq ans plus tôt, ce jeune GI vivait ses derniers instants de détente à Coney Island, le parc d’attraction de New York, avec sa fiancée Harriet. John a réapparu à la Libération, sans jamais vraiment expliquer ce qu il lui était arrivé. On va le découvrir, grâce au récit d’Amelia, la petite-fille de John, et à plusieurs flashback : petit à petit émergent les liens entre John, Martin et M. Hugo. “Outre-Atlantique” traverse l’océan et les années pour faire surgir, dans une prose intense et délicate, ces liens secrets qui tissent les destins.
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L’enfant de l’amour de Sheila Kohler (29 août, éditions de La Table Ronde)
Rien ne ressemble plus à une riche Blanche oisive qu’une autre riche Blanche oisive. Sous le vernis de la très haute société sud-africaine de la fin des années 1950, pourtant, certaines transportent d’inavouables secrets. Parmi elles, Bill, femme mûre et mûrie par la vie, ancien garçon manqué d’une famille d’artisans hissé à la tête d’une des plus grosses fortunes du pays après son mariage avec un homme tyrannique. À la mort de celui-ci, le notaire de la famille presse Bill de choisir ses héritiers. À qui doit-elle léguer son patrimoine ? À ses deux fils si sérieux ? À ses frères et sœurs avides et jaloux de son bien ? Au vieux cuisinier zoulou qui a vu grandir ses enfants ? À la fidèle gouvernante qui connaît tout de son secret ? Au fil de ces interrogations Bill déroule l’histoire de sa vie, depuis la fatale année de 1926 où son père lui interdit d’aimer celui qui restera à jamais l’homme de sa vie, ce jeune Juif aux boucles rousses, jusqu’au sulfureux triangle amoureux qui la mena à un mariage opulent. Avec, au milieu, un souvenir obsédant : l’enfer d’une jeune fille enfermée neuf mois durant pour protéger toute une famille de l’infamie. De la barbarie du puritanisme chrétien aux dérives de l’aristocratie blanche dans un pays à l’aube de l’Apartheid, “L’enfant de l’Amour” raconte comment une femme peut être victime de son temps.
Déjà lu du même auteur: Quand j’étais Jane Eyre.
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Danse Noire de Nancy Huston (21 août, Actes Sud)
Sur un lit d’hôpital, Milo s’éteint lentement. À son chevet le réalisateur new-yorkais Paul Schwarz rêve d’un ultime projet commun : un film qu’ils écriraient ensemble à partir de l’incroyable parcours de Milo. En s’attachant à ce destin issu d’un passé aussi singulier qu’universel, en s’arrêtant sur les origines de Milo dans un premier temps effacées puis peu à peu recomposées, ce film serait le reflet éclatant de trois lignes de vie ayant traversé le siècle en incarnant ses décennies de joies et de larmes, d’espoirs et de résistance, d’exode, d’exils et de fureur. Vivre, écrire, créer dans une langue étrangère, porter en soi la polyphonie des mondes d’un bout à l’autre du XXe siècle, ce livre puissant est à lui seul la voix de l’exil, il incarne sa force riche et douloureuse.
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Cinq jours de Douglas Kennedy (3 octobre, Belfond)
(Je n’ai pas trouvé la 4ème de couverture en français, voilà la version anglaise) Laura spends her days looking at other people’s potential calamities. She works in the radiography unit of a small hospital on the Maine coast, bearing constant witness to the fears of patient after frightened patient. In a job where finding nothing is always the best possible outcome, she is well versed in the random injustices of life, a truism that has lately been playing out in her marriage as well. Since being downsized, her husband, Dan, has become withdrawn, his emotional distance gradually corroding their relationship. With a son in college and a daughter soon due to leave home, Laura has begun to fear that the marital sounds of silence will only deepen once the nest is truly empty.When an opportunity arises to attend a weekend medical conference in Boston, Laura jumps at this respite from home. While checking in, she meets a man as gray and uninspired as her drab hotel room. Richard is an outwardly dull, fiftysomething insurance salesman. But during a chance second encounter, Laura discovers him to be surprisingly complex and thoughtful, someone who, like herself, is grappling with the same big questions about decisions made and the human capacity for self-entrapment. As their conversation deepens and begins to veer into shared confessions, the overwhelming sense of personal and intimate connection arises. A transformative love affair begins. But can this potential, much-longed-for happiness be married to their own difficult personal circumstances? Can they upend their lives and embrace that most loaded of words: change?A love story as clear-sighted and ruminative as it is affecting, Five Days will have you reflecting about the choices we all make that shape our destinies. Crafted with Kennedy’s trademark evocative prose and pitch-perfect in its depiction of the complex realities of modern life, it is a novel that speaks directly to the many contradictions of the human heart.
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Canada de Richard Ford (22 août, éditions de l’olivier)
Nous sommes à Great Falls, Montana, en 1960. Dell Parsons a 15 ans lorsque ses parents commettent un hold-up, avec le fol espoir de rembourser ainsi un créancier menaçant. Mais le braquage échoue, les parents sont arrêtés, et Dell a désormais le choix entre la fuite ou le placement dans un orphelinat. Il choisit de fuir, passe la frontière du Canada et se retrouve dans le Saskatchewan. Il est alors recueilli par un homme, Remlinger, qui fait de lui son apprenti et son factotum. Remlinger est un « libertarien », adepte de la liberté individuelle intégrale, qui vit selon sa propre loi en organisant des chasses. Canada est le récit de ces années d’apprentissage au sein d’une nature magnifique, parmi des hommes pour qui seule compte la force brutale, comme le montre l’épisode final, d’une incroyable violence. Des années plus tard, Dell, qui est devenu professeur à l’Université, se souvient de ces années qui l’ont marqué à jamais. Qualifié de « page-turner » par le NY Times, ce roman d’une puissance et d’une beauté exceptionnelles rappellera aux lecteurs de Richard Ford le premier de ses livres publié à l’Olivier en 1991, Une saison ardente. Il marque le retour sur la scène littéraire d’un des plus grands écrivains américains contemporains.
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Le dilemme du prisonnier de Richard Powers (22 août, Le Cherche-Midi)
Fin des années 1980, DeKalb, Illinois. Eddie Hobson, Ailene, et leurs quatre enfants, ont toujours formé un clan très soudé. Mais lorsque Eddie est frappé par une étrange maladie, la mécanique familiale se dérègle et les secrets de ce père pas comme les autres font peu à peu surface. Pourquoi ce professeur d’Histoire charismatique a-t-il élevé ses enfants, aujourd’hui adultes, dans l’amour de la culture, du divertissement des énigmes et des jeux d’esprits, en les tenant toujours éloignés des réalités de leur temps ? Et quelle est cette longue histoire qu’il élabore depuis près de trois décennies derrière une porte close ? Alors qu’Eddie s’est enfui de l’hôpital pour une destination inconnue, le plus jeune de ses fils, Eddie Jr, part à sa recherche. Petit à petit, l’histoire du père se dévoile et avec elle, c’est tout le XXe siècle qui défile, de l’exposition universelle de New York en 1939 aux essais nucléaires de Los Alamos, en passant par un projet grandiose de Walt Disney, destiné à entretenir l’optimisme des populations durant la Seconde Guerre mondiale. Dans cet éblouissant roman polyphonique, Richard Powers s’intéresse à l’industrie du divertissement, de Hollywood à Disneyland, et questionne notre besoin d’évasion. Il nous montre, à la lumière d’un demi-siècle d’une histoire passionnante, comment ce qui nous édifie, que ce soit la famille ou la culture, nous emprisonne également.
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Transatlantic de Colum McCann (22 août, Belfond)
Après Et que le vaste monde poursuive sa course folle, le grand retour de Colum McCann. S’appuyant sur une construction impressionnante d’ingéniosité et de maîtrise, l’auteur bâtit un pont sur l’Atlantique, entre l’Amérique et l’Irlande, du XIXe siècle à nos jours. Mêlant Histoire et fiction, une fresque vertigineuse, d’une lancinante beauté.À Dublin, en 1845, Lily Duggan, jeune domestique de dix-sept ans, croise le regard de Frederick Douglass, le Dark Dandy, l’esclave en fuite, le premier à avoir témoigné de l’horreur absolue dans ses Mémoires.
Ce jour-là, Lily comprend qu’elle doit changer de vie et embarque pour le Nouveau Monde, bouleversant ainsi son destin et celui de ses descendantes, sur quatre générations.À Dublin encore, cent cinquante ans plus tard, Hannah, son arrière-petite-fille, tente de puiser dans l’histoire de ses ancêtres la force de survivre à la perte et à la solitude.
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Chimie des larmes de Peter Carey (4 septembre, Actes Sud)
Le nouveau roman de Peter Carey fait dialoguer deux voix et deux destins. Séparés par plus d’un siècle, deux êtres fous d’amour et de chagrin poursuivent le même but : alors qu’en 1854, Henry Brandling cherche un horloger capable de construire un jouet mécanique qui guérira son fils, en 2010 Catherine Gehrig affronte la mort de son amant secret en restaurant le même automate. Reliés par des carnets (que l’un écrit et que l’autre lit) et par leurs interrogations sur la mort, l’amour et la technique, ces deux personnages émouvants découvrent progressivement que ce jouet mécanique recèle des mystères bien plus grands. La Chimie des larmes est un grand roman sur la force créatrice et sa participation à notre capacité de résilience.
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Le livre du roi d’Arnaldur Indridason (12 septembre, éditions Métailié)
En 1955, un jeune étudiant islandais arrive à Copenhague pour faire ses études. Là il va se lier d’amitié avec un étrange professeur, bourru, érudit et buvant sec, spécialiste des Sagas islandaises, ce patrimoine culturel inestimable qu’ont protégé les Islandais au long des siècles comme symbole de leur nation. Il découvre le secret du professeur, l’Edda poétique, le précieux Livre du roi, dont les récits sont à l’origine des mythes fondateurs germaniques, lui a été volée pendant la guerre par des nazis avides de légitimité symbolique.
Ensemble, le professeur et son disciple réticent, qui ne rêve que de tranquillité, vont traverser l’Europe à la recherche du manuscrit. Un trésor pour lequel certains sont prêts à voler et à tuer. Un trésor aussi sur lequel on peut veiller et qu’on peut aimer sans en connaître la valeur.
Une histoire inhabituelle et une aventure passionnante sur ce qu’on peut sacrifier et ce qu’on doit sacrifier pour un objet aussi emblématique qu’un livre.
très belle sélection avec d’excellents auteurs américains
Merci Denis!
KASISCHKE, FORD et ERDRICH formeront mon trio incontournable de la rentrée.
J’espère que nous ne serons pas déçus par ces trois grands auteurs 😉
Il y a du beau et du bon dans cette rentrée étrangère, je le sens ! 😉
L’année dernière la rentrée étrangère était un peu morne, il y a beaucoup plus de titres intéressants cette année!
Voilà un choix qui me parait fort judicieux, Laura KASISCHKE rien à jeter ou presque depuis ces débuts, reeditera t-elle un opus aussi génial que les revenants ?
Richard RUSSO un monstre encore , l’homme qui transforme la banalité en légende, ce n’est pas de moi mais c’était dans la quatriéme de couverture d’un homme presque parfait sous le plume d’andré CLAVEL critique littéraire à l’expresse me semble t-il
Et Richard FORD, Arnaldur INDRIDASON et autre Louis EDRICH un choix excellent….
Bon Douglas KENNEDY, à mon sens son meilleur est dérrière lui, ses derniers bouquins sont miévres, je pense qu’à trop vouloir vendre finalement on fait du sur mesure pour des lecteurs que l’on veut fidéliser mais ne surtout pas désarconner !!! Richard POWERS on m’a dit que c’était géant, j’ai acheté son avant dernier dont le titre m’echappe pas accroché du tout mais bon en littérature rien n’est universel. Mon livre culte est par exemple Cent ans de solitude de MARQUEZ et beaucoup de mes proches l’on trouvé indigeste …
bravo Solenn pour cette sélection, vivement les commentaires
Merci de ton avis sur cette sélection Fabrice 😉 C’est vrai que j’ai été déçue par les derniers livres de Douglas Kennedy aussi, mais je lui laisse encore une petite chance!